La Terreur est mise en cause dès que la situation militaire est rétablie (fin de 1793). ; «n’ayant rien fait contre la Liberté, n’ont rien fait pour elle» = deviennent suspects non seulement les nobles, les prêtres réfractaires, les émigrés, les riches, les notables, mais aussi les modérés, les fédéralistes, les égoïstes, les … Les Causes De La Terreur 1793 Page 3 sur 50 - Environ 500 essais Le directoire 4032 mots | 17 pages Le régime du Directoire sera instauré de 1795 à 1799, il suit une période très dure pour les Français, appelé la Terreur. stream Jacques Hébert. Les causes de la Terreur Size: 13.3 Kb. Par exemple, il s’agite, il crie, il pleure et il se dresse parfois sur son lit. Ce fut une réaction temporaire, malheureuse mais inéluctable, pour répondre aux exigences … Il peut également avoir un discours incohérent, être désorienté ou agressif et ne pas supporter le contact de ses parents. Après la chute des Girondins, sous la domination des Montagnards, la Terreur vise à assurer la défense de la nation contre les ennemis de l'extérieur (→ première coalition) et intérieurs (→ guerre de Vendée, insurrections fédéralistes et royalistes). Mais c’est au moment où il rejoint la phase du sommeil paradoxal, appelé aussi l’univers des rêves, qu’apparaît la terreur nocturne. Cela se produit pendant les transitions entre les différents stades du sommeil, lorsque vous n’êtes pas éveillé, mais que vous n’êtes pas complètement endormi non plus. Le reflux gastro-œsophagien 5. On cite toutefois le manque de sommeil, un excès de substances excitantes dans les heures qui précèdent celle du coucher, et d’une manière générale un état de stress permanent. En 1804, il se fait sacrer empereur des Français sous le nom de Napoléon Ier. Ainsi, à Lyon, où a momentanément triomphé l'insurrection royaliste, les représentants en mission Fouché et Collot d'Herbois se montrent implacables (un décret de la Convention a d'ailleurs donné l'ordre de raser la ville ; 2 000 suspects sont exécutés). Les causes exactes de cette terreur nocturne sont encore méconnues. de la Grande Terreur, à la fois internationales et intérieures, sont nombreuses : la crainte d’une guerre prochaine et de l’existence d’un « réservoir insurrectionnel d’ennemis » a joué son rôle dans l’esprit de Staline. Le trouble panique est une forme d’anxiété caractérisée par des attaques de panique qui surviennent inopinément et se répètent. Afin de faire face aux menaces intérieures et extérieures, un régime politique autoritaire, la Terreur, dirigé par Robespierre, est instauré jusqu'en 1794. Il décrète la levée en masse qui luipermet de recruter plus d’un million de soldats. Les exécutions publiques, si elles frappent l'imagination des foules, deviennent alors d'autant plus insupportables qu'elles paraissent moins justifiées. La terreur n’est autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible ; elle est donc une émanation de la vertu ; elle est moins un principe particulier, qu’une conséquence du principe général de démocratie, appliqué aux plus pressants besoins de la patrie," déclare Robespierre dans son célèbre discours du 5 février 1794. La Terreur La Terreur est une période de la Révolution Française qui à débutée en mars 1793 et s'est terminée le 28 juillet 1794, lors du coup d'état du 9 Thermidor (Chute de Robespierre) .Elle a commencé à la mort de LOUIS XVI, jugé et guillotiné par l'Assemblée Nationale, et a la chute des girondins parti politique de l'Assemblé Nationale, renversés par les Montagnards, parti de l'Assemblé Nationale … L’asthme 4. %�쏢 Totalement dominé par la personnalité de Joseph Staline, le Parti communiste utilise alors à grande échelle l'emprisonnement, la déportation et la peine de mort pour éliminer ses opposants politiques réels ou supposés. x��}��d�q'4�"k�f]|�gZ��u�i���ś,�[�Ey�nX�$���V���:��ݟҏ+Cr���$Y�믪���\�=-������r9�w����ח�����~��?�������t*�O�����RJq9֯�ɧK��T�ş����|z�l.���^�'�K6O?9���]x�����O��YR�Oq���DS�>8�������r �x_H� ��}~������"̳�]M��,o������q��?m��+[��EN�.���O? En province, la rigueur de la répression dépend surtout de la personnalité de ceux qui sont chargés de l'appliquer et de la force des mouvements contre-révolutionnaires dans la région. Puis l'usage s'instaure d'appeler « terreur » toute répression exceptionnelle, y compris les terreurs contre-révolutionnaires ou terreurs blanches. Guerre de Corée : causes, conséquences et dates du conflit. "�������_�����m(�%0������dK����1غJ�2c 1��xS�͞��i��P�$���$��S��E���/"l�/�]J���������h�w�b����=����R|����N�6Ƨ���r1�W}��B�qb.�8_]{��'q�~�G�+thN��]2��T��/�mw����R�7����6Ѻ�/�T���9��)�/����ڛ-�2]OK��2q����4�BC��2��������L�Dgp��#ݛ�i;Fw�蘸�o�%�~2 U&����R�q��¢$?����rs�}-��%i�4!�z��d�QD��]He����ќr@.�LC|�$��MK����R�m�����w4C�ci�;�U��`��4ߎqaC��+�D�@5�Q.��J�Z=g"�v���ށ^���#�. A l’issue du crime de masse que représente la Grande Terreur, 1,5 million de personnes ont été arrêtées. Certains considèrent en effet que la Terreur peut se comprendre par les difficultés rencontrées alors par la France. À compter d'avril 1794, la Terreur entre dans une nouvelle phase : le décret du 27 germinal an II (16 avril 1794) dépossède les tribunaux révolutionnaires de province de leurs pouvoirs, au profit de celui de Paris ; la répression est encore accentuée par la loi du 22 prairial an II (10 juin 1794) qui supprime la défense et l'interrogatoire préalable des accusés et ne laisse au tribunal que le choix entre l'acquittement et la mort. A La crise de la monarchie sous Louis XVI. Appel des dernières victimes de la Terreur à la prison Saint Lazare. Le Directoire, qui succède à la Terreur, est incapable de stabiliser la situation et Bonaparte, par un coup d'État en 1799, prend le pouvoir et instaure le Consulat. Huit condamnés sur dix sont des ci-devant membres du tiers état (trois sur dix des sans-culottes), un sur dix est un noble (contrairement à une imagerie largement répandue) : « En pareille lutte, les transfuges suscitent moins de ménagement que les adversaires originels » (Georges Lefebvre). <> Il semble que les faits idéologiques (agitation des prêtres réfractaires, surtout) aient motivé 19 % des condamnations, les faits économiques (accaparement de denrées et viol de la loi sur le maximum, surtout) 1 % seulement (mais de nombreux emprisonnements). La France ayant vaincu ses ennemis extérieurs et intérieurs, la Terreur ne se justifie plus en 1794. Finalement, la Terreur permet de sauver la République mais elle a entraîné 25 000 exécutions et la destruction de certaines régions, avec en particulier 200 000 morts en Vendée. 5 0 obj A l’été 1794, la « Grande Terreur », mise en place par les lois de prairial an II (mai 1794)[1], sévit... Complainte sur l’arrestation du Père Duchesne, 24 ventôse an II (13 mars 1794). Cette première Terreur, qui coïncide avec l'époque des élections à la Convention (90 % des électeurs s'abstiendront de voter), prendra fin avec la victoire de Valmy. Journaliste et homme politique français... 1. Les rouages de la Terreur ont souvent été évoqués avec une double approche : une vision qui faisait la part belle aux décisions prises dans la capitale, une autre qui incitait à appréhender la Terreur « au village ». Plus de la moitié ont été exécutées, l’autre déportée dans les camps du Goulag. Cependant, ce sont surtout les délits idéologiques qui conduisent à la généralisation de la Terreur : les prêtres réfractaires ou constitutionnels, ceux qui les protégent ou qui simplement suivent leur culte sont pourchassés. La plupart des mesures prises par la Législative le sont sous la pression de la Commune : suspension du roi, autorisation donnée aux municipalités d'opérer des visites domiciliaires et de procéder aux arrestations, création d'un tribunal extraordinaire (17 août), bannissement des prêtres réfractaires, suppression des ordres enseignants et hospitaliers. Entre juillet 1792 et juillet 1794, il y a de 100 000 à 300 000 arrestations et peut-être 35 000 à 40 000 morts ; 16 594 morts (chiffre sûr, celui-là) sont ordonnées par les différents tribunaux révolutionnaires. Pour beaucoup d'historiens, le règlement du conflit a été facilité par la mort de Staline le 5 mars 1953. À Nantes, Carrier fait noyer dans la Loire, sans jugement, au moins 2 800 suspects. La terreur nocturne est proche du somnambulisme en ce sens : elle ne s’attarde pas dans la mémoire du rêveur, et si elle implique un stress intense pendant son déroulement, elle ne présuppose aucun retour de bâton après le réveil.. Plus présente chez les enfants entre 4 et 12 ans, elle peut également concerner les très jeunes enfants, mais aussi les adultes. Les excès de la Terreur constituent une des causes – mais non la seule –, de l'isolement du gouvernement révolutionnaire en thermidor an II. La terreur nocturne est un phénomène héréditaire. Les hébertistes (→ Jacques Hébert) et les indulgents sont éliminés. %PDF-1.4 Il existe néanmoins plusieurs facteurs de risque pouvant précipiter ou aggraver les terreurs nocturnes : 1. Le déficit de sommeil 6. Les délits économiques, accaparement de denrées ou de métaux précieux, fraude de la loi sur le maximum, refus d'accepter les assignats – et c'est en cela que l'on peut parler de terreur économique –, peuvent être à l'origine de la comparution devant le Tribunal révolutionnaire. ?��E����_�ߥKZ�p�����~�7�2^�B���%�1�F�_���7X�Gg��X�����?>�� M4m3ܒ�K��ۻy�͟�M��>��d��cF2|��% ��9��矾�/���/���#�q�ߤ�]�r��_/���R�Z��9�xŸ��2>}F���t�?��lQU�O������k�Ş�`ֵ:�R�l��\(��ϼ{���h$�6&t�\�㯭��J�v�3��������c`J��k�T߹x e�?�ٔ@�N�ә8:P���(].����B$H���J�љ�y���x�.6���9/˘����m�c�|}��$/��t�~���1m�-�%[�. Le Régime de la terreur, aussi connue simplement sous le nom de La Terreur, était une période de la Révolution française entre 1793 et ​​1794. Appel des dernières victimes de la Terreur à la prison Saint Lazare à Paris les 7-9 Thermidor an II. Après le « Congrès des Vainqueursb » de 1934, alors que Staline proclame que « Lhomme est le capital le plus précieux », toute personne perçue … Le syndrome de mouvements périodiques des jambes au cours du sommeil (MP… La peur du « complot aristocratique », l'inquiétude grandissante devant l'invasion prussienne et l'exacerbation des passions populaires provoquent alors les massacres de Septembre. Mais elle exaspère bon nombre de citoyens, surtout après la victoire de Fleurus (26 juin 1794). Hors de Paris, la "fin de la Terreur", ça voulait surtout dire que les corrompus et les traitres ne seraient plus punis. La Terreur désigne une période de la Révolution française (1793-1794) qui a vu se radicaliser par la violence les mouvements républicains en France. La Révolution avait « dévoré ses enfants », royalistes constitutionnels (feuillants), girondins, hébertistes, dantonistes (Danton, Hébert); au milieu des craintes, des suspicions, des trahisons enfantées par l'abolition de la royauté, par la condamnation de Louis XVI, par la guerre contre l'Europe et par la guerre civile, la Terreur, sans épargner ses vrais ennemis, avait frappé des hommes égarés comme criminels, de bons citoyens co… Certains justifient la Terreur en y voyant la conséquence d’événements contingents : alors que des armées hostiles se massaient aux frontières et que les forces contre-révolutionnaires se développaient au sein de la nation, les révolutionnaires de 1793 n’eurent d’autre choix que de mettre la terreur à l’ordre du jour. Répression des délits économiques et idéologiques. Les causes. La fièvre 2. Après thermidor, la Terreur est appliquée aux anciens robespierristes et réappaît périodiquement, y compris dans la législation d'exception, jusqu'en 1799, appliquée aux royalistes et aux Jacobins, parfois simultanément ; mais elle a perdu son caractère populaire. La Terreur se développe par étapes, depuis la création du Tribunal révolutionnaire, le 10 mars 1793, jusqu'à la loi du 22 prairial an II (10 juin 1794) qui en aggrava le caractère. Après la chute des Tuileries et la formation d'un Conseil exécutif provisoire de six membres, l'Assemblée législative déconsidérée doit s'incliner devant la Commune insurrectionnelle de Paris, qui, inspirée par Robespierre, surveille les autres autorités. Cette aggravation est due au climat d'inquiétude provoqué par la situation militaire et les conspirations contre-révolutionnaires. La première Terreur (10 août-20 septembre 1792), 2. Les Grandes Purges  ou la Grande Terreur  sont une période de répressions politiques massives en Union soviétique dans la seconde moitié des années 1930. À Paris, environ 3 000 suspects sont emprisonnés. Après la chute des Tuileries et la formation d'un Conseil exécutif provisoire de six membres, l'Assemblée législative déconsidérée doit s'incliner devant la Commune insurrectionnelle de Paris, qui, inspirée par Robespierre, surveille les autres autorités. La seconde Terreur (5 septembre 1793-28 juillet 1794), 2.2. L’enfant se trouve alors dans un état de crise, qui peut se manifester de différentes façons. La Terreur (1793-1794) Face à la situation qui s’aggrave en France, les Montagnards donnent le pouvoir à un Comité de Salut Public, dirigé par Robespierre. Pendant cette période, le gouvernement de Robespierre a décidé de prendre des mesures drastiques pour mettre fin aux opposants français, prêtres, nobles et … RESUME GUERRE DE COREE - En pleine Guerre froide, la Corée devient le lieu d'affrontement des deux grandes puissances de l'époque. SUJET 2: CAUSES ET CONSEQUENCES DE LA FIN DE LA TERREUR. On compte une moyenne de 1 600 exécutions par jour dans le pays… Pour rappel : cf fiche scientifique. La terreur se définit comme la politique mis en place pour lutter contre les ennemis de la révolution. Les commissions militaires créées dans les régions de guerre civile (en Vendée, notamment) pratiquent elles aussi une justice expéditive : suppression du jury d'accusation et du recours en cassation, simple constatation d'identité et prononcé de la peine de mort à l'encontre des rebelles, des émigrés et des prêtres déportés revenus sur le territoire de la République. Voilà pourquoi elle est davantage présente au sein de familles où l’un des parents ou grands-parents a été victime de terreurs nocturnes dans sa jeunesse. Ils … La grande vague se situe entre le 10 juin et le 21 juillet 1794, après les lois de prairial : 2 554 condamnations à mort en six semaines, dont celle du poète André Chénier ; 52 % des condamnations capitales sont prononcées dans l'Ouest et 19 % dans le Sud-Est, c'est-à-dire dans les régions de guerre civile ; 16 % à Paris. Il y a d'abord de violentes oppositions entre partisans de l'arrêt de la Terreur (les dantonistes ), les partisans d'un approfondissement de la Terreur (les hébertistes ) et les partisans de Robespierre qui arrivent à éliminer leurs adversaires au printemps 1794. Il met la Terreur à l’ordre du jour. Les combattants s'y opposent dans le but de réunifier le pays divisé en 1948. Certains médicaments (sédatifs, stimulants, antihistaminiques…) 7. La plupart des mesures prises par la Législative le sont sous la pression de la Commune : suspension du roi, autorisation donnée aux municipalités d'opérer des visites domiciliair… Les suspects sont traqués, les condamnations se multiplient, de nombreux Girondins sont exécutés. Notons que les vainqueurs qualifient aussitôt la journée du 10 août de « massacre de la Saint-Laurent », moins pour rappeler le saint du jour que pour mettre l’événement en balance avec le «massacre de la Saint-Barthelémy» qui, le 24 août 1572, avait vu les catholiques proches du roi tuer les protestants. Les terreurs nocturnes ont tendance à se produire lorsque vous vous réveillez partiellement du sommeil NREM. 1Depuis une quinzaine d’années, l’historiographie de ce qu’il est convenu d’appeler la Grande Terreur des années 1937-1938 a été profondément renouvelée, tant par des historiens russes et ukrainiens que par des historiens occidentaux.. Bref rappel historiographique. La Terreur est le nom par lequel on désigne deux périodes de la Révolution française. La Terreur profile son nez. Créés le 21 mars 1793, les comités de surveillance chargés, sous le contrôle du Comité de sûreté générale, de l'arrestation des suspects, voient leurs pouvoirs accrus après le vote de loi des suspects, le 17 septembre 1793. Avec Robespierre, au début de 1794, la Terreur, étendue à toute la France par les représentants en mission, s'accompagne de strictes mesures de contrôle économique et d'une déchristianisation générale. Sur les 139 membres du Comité central de 1934, 98 ont disparu. Les stress physique aigus 3. Quelles en sont les causes ? Les difficultés de la monarchie constitutionnelle provoquent sa fin, l'exécution du roi en 1793 et la mise en place d'une république. I 1789 − 1791 : l'affirmation de la souveraineté nationale . Mais les causes immédiates de la Grande Terreur, à la fois internationales et intérieures, sont nombreuses : la crainte d’une guerre prochaine et de l’existence d’un « réservoir insurrectionnel d’ennemis » a joué son rôle dans l’esprit de Staline. Pour avoir une vue d'ensemble sur la Révolution française, consultez en priorité les articles suivants du dossier en cliquant sur celui de votre choix : Nom donné à deux périodes de la Révolution française : la première Terreur (10 août-20 septembre 1792) et la seconde Terreur (5 septembre 1793-28 juillet 1794). Les biens séquestrés des suspects doient être distribués aux indigents (décrets de ventôse, février-mars 1794). Les terreurs nocturnes sont des manifestations liées au développement de l’enfant âgé de 3 à 7 ans et font partie du processus de croissance. La Terreur est un épisode douloureux de l'histoire de France sur lequel les historiens eux-mêmes ne sont pas toujours d'accord. Outre le Tribunal révolutionnaire nommé par la Convention, des tribunaux révolutionnaires fonctionnent aussi en province.