élisabeth vigée le brun biographie

Son père, Louis Vigée, était pastelliste et membre de l'Académie de Saint-Luc. À l'invitation de l'ambassadeur de Russie, Élisabeth Vigée Le Brun se rend en Russie, pays qu'elle considèrera comme sa seconde patrie. Elle est accueillie à Paris le 18 janvier 1802, où elle retrouve son mari, avec qui elle revit sous le même toit. Biographie : Louise-Élisabeth Vigée, épouse Lebrun, dite Madame Vigée-Lebrun, née le 16 avril 1755 à Paris et morte dans la même ville le 30 mars 1842, est une peintre française, considérée comme une grande portraitiste de son temps à l'égal de Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze. Déjà marié une première fois en Hollande[5], il la demande en mariage. Portrait de jeune femme (vers 1797), musée des beaux-arts de Boston. In the eighteenth century, women played a key role in the Salons. Elle se réfugie chez l'architecte Alexandre-Théodore Brongniart. Elle reçoit cette même année sa première commande de la Cour du comte de Provence, le frère du roi puis, le 30 novembre 1776, Élisabeth Vigée Le Brun est admise à travailler pour la Cour de Louis XVI. Elle écrira un court texte, Conseils pour la peinture du portrait, pour sa nièce[24]. Le salaire d'un domestique était de 150 francs par an, on peut estimer la transaction équivalant à 80 000 à un million d'euros. 4 by Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun; Souvenirs de Madame Louise-Élisabeth Vigée-Lebrun, Tome premier by Vigée-Lebrun. Il est un spécialiste de peinture hollandaise dont il a publié des catalogues[10]. The Revolution ended when Napoleon Bonaparte took power in 1799. Elle quitte Paris pour Lyon, déguisée en ouvrière, puis traverse le mont Cenis vers la Savoie (alors possession du Royaume de Sardaigne), où elle est reconnue par un postillon qui lui propose un mulet : Elle arrive à Rome en novembre 1789. Faisant partie des intimes de la Cour, elle est l'objet comme le roi et la reine de critiques et médisances. Élisabeth-Louise voit le jour en 1755 ; un frère cadet, Étienne Vigée, qui deviendra un auteur dramatique à succès, naît deux ans plus tard[2]. La jeune fille peint de nombreuses copies d'après les maîtres. Élisabeth-Louise Vigée Le Brun, née Louise-Élisabeth Vigée le 16 avril 1755 à Paris,[1] où elle est morte le 30 mars 1842, était une peintre française, généralement considérée comme une grande portraitiste de son temps à l'égal de Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze.. Quelques mois plus tard, elle quitte la France pour l'Angleterre, où elle s'installe à Londres pour trois ans. Il convient également de noter que l'hygiène déficiente de l'époque gâte les dents et les fait souvent perdre avant l'âge de 40 ans : garder la bouche fermée et contrôler son sourire répond donc à une certaine nécessité pratique. Invoquant la désertion de sa femme, Jean-Baptiste-Pierre demande et obtient le divorce en 1794 pour se protéger et préserver leurs biens[33]. Équivalant à dix millions d'euros environ. « Au lieu de se donner généreusement à l'œuvre qu'elle entreprend, la femme la considère comme un simple ornement de sa vie ; le livre et le tableau ne sont qu'un intermédiaire inessentiel, lui permettant d'exhiber cette essentielle réalité : sa propre personne. Get your FREE $25 Gift Voucher from Blush Day Spa 08 9201 1088 En 1795, elle est à Saint-Pétersbourg où elle fait un séjour de plusieurs années favorisé par des commandes de la haute société russe et des appuis de Gabriel-François Doyen, proche de l'impératrice et de son fils. It was illegal for an artist to make an income without belonging to the Academy, though naturally as a woman she was excluded from membership. Portrait of Susanna Lunden (?) La seule exception notable est son tableau La Paix ramenant l'Abondance de 1780, constituant sa pièce de réception à l'Académie royale de peinture et de sculpture, qui avait été très sévèrement critiquée par les membres de l'Académie pour ses fautes de dessin et son manque d'idéalisation[6]. Bibliographic Record . Opinion A Look at the Subversive Art of Élisabeth Vigée Le Brun—and the One Gender-Bending Portrait That Has Kept Historians Guessing. 1791, Élisabeth Louise Vigée Le Brun (1755–1842) (after). Le 14 février 1792, elle quitte Rome pour Venise[31]. Il publie un opuscule : Précis Historique de la Citoyenne Lebrun. L’artiste effectue son Grand Tour et vit entre Florence, Rome où elle retrouve Ménageot, et Naples avec Talleyrand et Lady Hamilton, puis Vivant Denon, le premier directeur du Louvre, à Venise. Russell-Cotes Art Gallery & Museum, Marie Antoinette ↑ [PDF] grandpalais.fr. Des lettres et des libelles circulent dans Paris, pour prouver sa relation avec Calonne. En bref. La première rétrospective de son œuvre en France a lieu de septembre 2015 au 11 janvier 2016 au Grand Palais de Paris. During her time in London between 1802 and 1805, Vigée Le Brun painted this portrait of the Duchess of Dorset, Arabella Diana Cope (1769–1825). Jean-Baptiste Greuze (1725–1805) En 1775, elle offre à l’Académie royale deux portraits ; en récompense, elle reçoit une lettre signée par d'Alembert l'informant qu'elle est admise à participer aux séances publiques de l’Académie. Sa fille finit sa vie dans la misère en 1819, et son frère, Étienne Vigée, meurt en 1820. Meet the painter who shocked the 18th-century French art world. Proche de Jacques-Louis David, il demande en 1793, sans succès, que le nom de sa femme soit retiré de la liste des émigrés. Il prophétise dès lors qu’elle sera peintre. La Reine Louise de Prusse (1801), Berlin, château de Charlottenburg. National Trust, Cliveden, Elisabeth de Bourbon (1764–1794), Princess of France, 'Madame Elisabeth', Élisabeth Louise Vigée Le Brun (1755–1842) (style of). Catalogue de vente Sotheby's Moscou, janvier 2014. Vigée Le Brun's most important patron was the Austrian-born Queen of France, Marie Antoinette (1755–1793), who famously came to a sticky end. National Trust, Polesden Lacey, Supposed Portrait of the Artist's Brother, Louis-Jean-Baptiste-Etienne Vigée (1758–1820). Si son œuvre exécuté sous l'Ancien Régime a été très commenté, apprécié ou critiqué, la seconde partie qui va de 1789 à 1842 est peu connue[6]. Lorsque son beau-père se retire des affaires en 1775, la famille s'installe rue de Cléry, dans l'hôtel Lubert, dont le principal locataire est Jean-Baptiste-Pierre Lebrun qui exerce les professions de marchand et restaurateur de tableaux, d'antiquaire et de peintre. Elle a été comparée à Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze[1]. Arabella Diana Cope (1769–1825), Duchess of Dorset Dès cet âge, son talent précoce pour le dessin s’exprime : dans ses cahiers, sur les murs de son école[4]. Née rue Coquillière à Paris[3], Élisabeth est baptisée à l’église Saint-Eustache de Paris, puis mise en nourrice. Princess Anna Grigorievna Belosselsky Belozersky was the younger of two daughters of Gregory Vassilievitch Kozitsky, secretary of state to Catherine II. [Skip to content] Elle peint encore quelques couchers de soleils, des études de ciel ou la montagne, dont la vallée de Chamonix au pastel (Le Mont blanc, L'Aiguille du Goûter, musée de Grenoble[39]). Pierre Arizzoli-Clémentel, Xavier Salmon. In the late 1780s, the French press would create rumours that Polignac and Antoinette were engaging in a lesbian love affair, as part of a smear campaign to discredit the Royal family. Ce dernier devient son agent, s'occupe de ses affaires. La seconde partie est plus sévère, le style a changé dans les portraits, mais aussi avec les paysages qui y apparaissent alors (200 environ). Art UK is the operating name of the Public Catalogue Foundation, a charity registered in England and Wales (1096185) and Scotland (SC048601). Adam Frans van der Meulen (1631/1632–1690) (attributed to) While her work has often been dismissed for its rendering of frivolous subject matters in the Rococo style (existentialist philosopher and feminist Simone de Beauvoir famously criticised her work), others have pointed out the historical significance of Vigee Le Brun's works, which were arguably products of their time. Élisabeth Louise Vigée Le Brun (1755–1842) Inspirée par Rubens qu'elle admire, elle peint son Autoportrait au chapeau de paille en 1782 (Londres, National Gallery). Le 14 janvier 1807, elle rachète à son mari endetté son hôtel particulier parisien et sa salle des ventes[32]. probably 1622-5. From the time she was small, he taught his daughter the skills of the trade. ». Briard est membre de l’Académie royale de peinture, et donne volontiers des leçons, bien qu'il ne soit pas encore professeur. En septembre de la même année, elle participe au Salon pour la première fois et y présente Marie-Antoinette dit « à la Rose » : initialement, elle a l'audace de présenter la reine dans une robe en gaule, mousseline de coton qui est généralement utilisée en linge de corps ou d'intérieur, mais les critiques se scandalisent du fait que la reine s'est fait peindre en chemise, si bien qu'au bout de quelques jours, Vigée Le Brun doit le retirer et le remplacer par un portrait identique mais avec une robe plus conventionnelle[17]. En 1814, elle se réjouit du retour de Louis XVIII, « Le monarque qui convenait à l'époque », écrit-elle dans ses mémoires. Louise-Élisabeth Vigée, épouse Lebrun, dite Madame Vigée-Lebrun (Paris, 16 avril 1755 - Paris, 30 mars 1842) est une artiste peintre française, grande portraitiste de son temps. [Skip to quick links] Portrait de Charles Alexandre de Calonne (1784), Royal Collection. Elle a pu être comparée à Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze. Greatly influenced by the Flemish and Netherlandish artists, she had taken inspiration from Peter Paul Rubens' (1577–1640) Portrait of Susannah Lunden (Le Chapeau de Paille) from 1662. Élisabeth Louise Vigée Le Brun (16 April 1755—30 March 1842), also known as Madame Lebrun or Madame Le Brun, was a prominent French portrait painter of the late eighteenth century. The Bowes Museum, Portrait of an Elderly Woman with Her Daughter The Premier Day Spa and Beauty Salon in Perth, Western Australia. (65 x 54 cm.) Remember me (uncheck on a public computer), By signing up you agree to terms and conditions Rares sont les femmes du XVIII e siècle à faire partie de l’Académie Royale de peinture et de sculpture. She was most likely deeply saddened by the events of the Revolution which brought about the death of many of her friends and clients, such as Elisabeth de Bourbon, Princess of France (1764–1794), who became a Catholic martyr. ↑ présentation de la biographie d'Élisabeth Vigée Le Brun dans Louveciennes tribune. É. lisabeth Louise Vigée Le Brun (1755-1824) was a French painter active between 1775-1825. Elle visite avec le plus vif intérêt la galerie de tableaux de Lebrun et y parfait ses connaissances picturales[11]. Élisabeth Vigée Le Brun peindra une cinquantaine d'autoportraits faisant d'elle-même son sujet de prédilection. Elle est reçue sans qu’aucune catégorie soit précisée. Elle écrit[5] : « On pouvait exactement me comparer à l’abeille, tant j’y récoltais de connaissances… ». after 1782. Vigée Le Brun était, au dire de sa biographe Geneviève Haroche-Bouzinac : « une belle femme, d’un abord agréable, d’une conversation enjouée, elle jouait d’un instrument, était une bonne actrice, avait des talents de société qui lui ont facilité son intégration dans les milieux mondains et un grand talent de portraitiste qui possédait l’art de flatter ses modèles… »[21]. Why – it will be clear from the biography of the artist. Her talent and signature style propelled her success from a young age. Vigée Le Brun departed France for Italy with her daughter (according to legend, she fled France disguised as a maid), though her husband Le Brun remained in Paris. Parmi ses portraits de femmes, on peut citer notamment les portraits de Marie-Antoinette (une vingtaine sans compter ceux des enfants) ; Catherine Noël Worlee (la future princesse de Talleyrand) qu’elle réalisa en 1783 et qui fut exposé au Salon de peinture de Paris de cette même année 1783 ; la sœur de Louis XVI, Mme Élisabeth ; l'épouse du comte d'Artois ; deux amies de la reine : la princesse de Lamballe et la comtesse de Polignac. Sa mère se remarie dès le 26 décembre 1767 avec un joaillier fortuné mais avare, Jacques-François Le Sèvre (1724-1810) ; les relations d'Élisabeth-Louise avec son beau-père sont difficiles[2]. Élisabeth Vigée Le Brun, Mémoires d'une portraitiste, Éditions Scala, 1999 réel de 1855, Dans leurs chronologies, les Éditions Scala donnent le, Anne-Sophie Aguilar, « Le rêve inabouti de la peinture d'histoire », in, Alexis Merle du Bourg, « Mettre ses pas dans ceux des maîtres », in, Alexis Merle du Bourg, « L'enfance réinventée, une histoire des mentalités », in. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Accroché au Louvre, son autoportrait avec sa fille Julie est jugé mièvre. The National Gallery, London, Self Portrait in a Straw Hat Through her brush, Vigée Le Brun (perhaps) naively helped to cement an unpopular image of the French ruling class during the Ancien Régime, which inadvertently led to its eventual downfall. Portrait de la duchesse de Polignac, gouvernante des enfants de France (1782). While in Imperial Russia in the late 1790s, Vigée Le Brun befriended Russian Countess, Varvara Nikolaevna Golovina (1766–1821), an influential aristocrat who was also an artist and musician. Élisabeth Louise Vigée Le Brun (1755–1842) (after) Souvenirs d’Elisabeth Vigée-Le Brun sur Gallica. Dans la bourgeoisie et l'aristocratie, il n'est pas encore dans les habitudes d'élever ses enfants soi-même, aussi l’enfant est-elle confiée à des paysans des environs d’Épernon. Après le décès de ce dernier, c’est un autre peintre, Gabriel-François Doyen, meilleur ami de la famille et célèbre en son temps comme peintre d'histoire, qui l’encourage à persévérer dans le pastel et dans l’huile ; conseil qu’elle suivra. 1803 Sur la pierre tombale, privée de sa grille d'entourage, se dresse la stèle de marbre blanc portant l'épitaphe « Ici, enfin, je repose… », ornée d'un médaillon représentant une palette sur un socle et surmontée d'une croix[42]. Entre Paris et Londres et la Suisse (1802 -1809), « On pouvait exactement me comparer à l’abeille, tant j’y récoltais de connaissances… », « une belle femme, d’un abord agréable, d’une conversation enjouée, elle jouait d’un instrument, était une bonne actrice, avait des talents de société qui lui ont facilité son intégration dans les milieux mondains et un grand talent de portraitiste qui possédait l’art de flatter ses modèles… ». On lui connaît aussi plusieurs autoportraits, dont deux avec sa fille. Dans le même temps, il expertise les collections saisies par la Révolution à l'aristocratie dont il dresse les inventaires et publie les Observations sur le Muséum National[34] préfigurant les collections et l'organisation du musée du Louvre, dont il devient le commissaire-expert[32]. Élisabeth Louise Vigée Le Brun (1755–1842) (after) ), par exemple sur les toiles flamandes du XVIIe siècle avec des ivrognes ou encore des enfants[Quoi ?] Lady Hamilton (1761–1815), as a Bacchante Being a girl in the 1700s, Elisabeth did not receive formal art training, but her father recognized that she was talented. Invitée par les grandes cours d’Europe et devant subvenir à ses moyens, elle peint sans cesse. Lors de sa présentation, il est jugé scandaleux. The Menagerie at Versailles, France Remaining sympathetic to the Royals, while in Rome, in 1791, she painted the two daughters of Louis XVI, Adélaïde and Victoire. À la fin de sa vie, l'artiste en proie à des attaques cérébrales, perd la vue. Comme son beau-frère Étienne, Jean-Baptiste-Pierre est emprisonné quelques mois.
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